Ressentis

Pourquoi je ne vous parle pas de hockey ces temps-ci…

Si vous me suivez depuis un certain temps, vous avez pu voir, l’an dernier, une couverture complète de la saison du Canadien. Et cette année, à moins que vous suiviez assidûment mes réseaux sociaux, vous n’avez rien vu de tout ça. Et si j’en profitais pour vous expliquer pourquoi, d’autant plus si vous ne passez par ici que de manière épisodique?

La notion de temps : C’est la première raison et la plus importante. Je ne peux plus me consacrer, trois fois par semaine, au visionnage des matchs et à leur analyse, aussi amatrice et subjective soit-elle. Et croyez bien que ça m’embête vraiment, car je suis vendu aux Habs plus que vous ne pouvez le penser. Cette équipe m’a permis de comprendre Montrèal, de m’y sentir chez moi.

Les études : Evidemment, c’est aussi une grosse raison. En prenant 5 cours par semaine, je savais que j’allais devoir doubler la mise en matière de temps passé. 15h de cours effective, c’est grosso modo 15h de travail personnel à côté. Et j’apprécie ces temps-là, contrairement à ce que j’ai pu craindre avant de me lancer. Mais je ne regrette rien et je suis heureux d’avancer sur ce chemin-là.

Le travail autonome : Ça, c’est clairement ce qui est le plus modulable dans ma semaine. Tout dépend des demandes de mes clients et vous vous doutez bien que pour que ça marche, il faut écouter ce qui est souhaité et se montrer flexible, ce que je fais avec plaisir car j’aime le contact client et réussir les mandats demandés.

Les activités bénévoles et mon temps libre : Comme je ne suis ni un robot ni une IA (du moins pas encore), il faut que je prenne du temps off aussi. C’est tout bête mais c’est nécessaire. Généralement, je m’octroie deux plages de calme par semaine, mais évidemment ça peut varier selon les choses à faire.

Vous comprendrez donc aisément pourquoi je suis moins devant ma télé et plus devant mon clavier. Car comme j’ai déjà pu le mentionner, l’écriture c’est mon dada. Je continue à suivre la Sainte-Flanelle et je n’ai pas tourné casaque, mais c’est le temps qui n’est pas compressible et surtout, je fais attention à donner de mon temps à ceux qui m’entourent. Je ne veux plus vivre dans une tour d’ivoire, centré sur moi. C’est mortifère et inhumain et je ne veux plus vivre ça. Jamais.

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