Grand Prix d’Espagne 2020 – Presque 100% d’ennui devant la TV.
Si le circuit de Catalunya est parfait pour y faire des essais de pré-saison, en course c’est tout simplement à mourir d’ennui pour les téléspectateurs. Aucune ambiance (ce qui est normal en ces temps de pandémie), et une procession le reste du temps. L’article va être court, et c’est pas faute d’avoir espéré mieux.
Le mot de la course : Soporifique. Si ce n’est pas nouveau, les facteurs aléatoires ne sont même pas venus. De la pluie? Même pas, les nuages ont ri de la course avant de repartir en vacances.
Les faits de la course : L’abandon électrique de Charles Leclerc, l’excellent départ de Lance Stroll et quelques batailles de milieu de grille. Max Verstappen qui s’énerve à la radio avant de se raviser, le coucou de Kimi. Et c’est à peu près tout. Le train est passé, Lewis Hamilton a gagné une course maîtrisée et la brave bête Bottas a ramené la voiture à la maison avant d’aller manger une glace. Vous me trouvez cynique? Ça doit être le fait d’avoir lutté contre mon envie de faire une sieste.
Le pilote du jour, Sebastian Vettel a limité la casse pour Ferrari et on peut aussi parler de Sergio Perez qui se fait pénalliser un peu bizarrement, ce qui avantage son coéquipier, j’entends les complots arriver en escadrille… Beau tir des McLaren même si on s’inquiète un peu de leur méforme par rapport à l’an dernier, Alex Albon et Pierre Gasly 8e et 9e respectivement. Ben cool pour les deux.
Est-ce que j’ai autre chose à dire? Non, j’ai bien étiré la sauce, les pneus n’ont pas fait de différence, on s’est fait royalement chier. Point. Vivement Spa (Belgique) dans deux semaines. Vous m’excuserez mais j’ai une sieste à finir…
PS : Bottas comme « Brave bête » c’est copyright Blabla F1 hein.